Hyeseon Jeong a grandi en Corée du Sud et s’est installée à Paris il y a 11 ans pour étudier le cinéma.
En parallèle de ses études en théorie esthétique du cinéma et histoire de l’art, elle a entamé sa collaboration avec les magazines Vogue Korea, Magazine B (Brand documentary) et Magazine F (Food culture) en tant qu’Editrice correspondante.
Aujourd’hui, ses activités oscillent entre le monde de la presse, la mode et la culture culinaire, mais elle conseille principalement des marques – le plus souvent coréennes – qui souhaitent se développer en Europe.
Elle accompagne également des enseignes françaises qui cherchent à s’implanter sur le marché coréen.
Hyeseon nous a reçues dans son appartement du 20ème arrondissement pour nous parler de son goût pour la cuisine, ses travel tips et son mode de vie minimaliste.
En parallèle de ses études en théorie esthétique du cinéma et histoire de l’art, elle a entamé sa collaboration avec les magazines Vogue Korea, Magazine B (Brand documentary) et Magazine F (Food culture) en tant qu’Editrice correspondante.
Aujourd’hui, ses activités oscillent entre le monde de la presse, la mode et la culture culinaire, mais elle conseille principalement des marques – le plus souvent coréennes – qui souhaitent se développer en Europe.
Elle accompagne également des enseignes françaises qui cherchent à s’implanter sur le marché coréen.
Hyeseon nous a reçues dans son appartement du 20ème arrondissement pour nous parler de son goût pour la cuisine, ses travel tips et son mode de vie minimaliste.
Depuis quand habites-tu dans cet appartement ? Quelles étaient tes envies en termes d’aménagement de l’espace ?
J’habite un petit appartement au dernier étage, bien entendu sans ascenseur ! J’y ai emménagé il y a 3 ans avec mon partenaire après l’avoir entièrement rénové.
La première question que les gens me posent en y entrant est : « où sont vos affaires ? ». Comme on aime tous les deux les espaces « vides », il était important pour nous d’optimiser la surface au maximum.
Nous avons donc fait construire des rangements qui font office de cloisons pour pouvoir y cacher toutes nos affaires.
Ma partie préférée de l’appartement est la cuisine. J’ai toujours rêvé d’avoir un plan de travail en inox pour pouvoir y étaler autant d’ingrédients et d’ustensiles que je veux.
Cuisiner sur ce plan de travail de 3 mètres de long muni d’une étagère à vaisselle suspendue est un pur bonheur.
J’habite un petit appartement au dernier étage, bien entendu sans ascenseur ! J’y ai emménagé il y a 3 ans avec mon partenaire après l’avoir entièrement rénové.
La première question que les gens me posent en y entrant est : « où sont vos affaires ? ». Comme on aime tous les deux les espaces « vides », il était important pour nous d’optimiser la surface au maximum.
Nous avons donc fait construire des rangements qui font office de cloisons pour pouvoir y cacher toutes nos affaires.
Ma partie préférée de l’appartement est la cuisine. J’ai toujours rêvé d’avoir un plan de travail en inox pour pouvoir y étaler autant d’ingrédients et d’ustensiles que je veux.
Cuisiner sur ce plan de travail de 3 mètres de long muni d’une étagère à vaisselle suspendue est un pur bonheur.
La cuisine semble tenir une place importante dans ta vie, est-ce que ça a toujours été le cas ?
Pendant longtemps j’ignorais que le bien-manger était quelque chose de très important, voire vital dans ma vie.
J’ai grandi dans un environnement très privilégié : ma mère et ma grande mère préparaient elles-mêmes toutes les sauces essentielles à la cuisine coréenne comme les sauces soja, le doenjang (miso coréen), le gochujang (pâte de piment), et l’huile de sésame.
La plupart des ingrédients qu’elles utilisaient venaient directement du potager de ma famille.
Une fois éloignée de tout cela en arrivant à Paris, j’ai réalisé combien un mauvais repas pouvait m’affecter.
La cuisine faite maison avec des ingrédients de saison m’apaise et me fait beaucoup de bien.
Cela me permet de me reconnecter aux traditions familiales et à leurs valeurs, à mes origines.
Pendant longtemps j’ignorais que le bien-manger était quelque chose de très important, voire vital dans ma vie.
J’ai grandi dans un environnement très privilégié : ma mère et ma grande mère préparaient elles-mêmes toutes les sauces essentielles à la cuisine coréenne comme les sauces soja, le doenjang (miso coréen), le gochujang (pâte de piment), et l’huile de sésame.
La plupart des ingrédients qu’elles utilisaient venaient directement du potager de ma famille.
Une fois éloignée de tout cela en arrivant à Paris, j’ai réalisé combien un mauvais repas pouvait m’affecter.
La cuisine faite maison avec des ingrédients de saison m’apaise et me fait beaucoup de bien.
Cela me permet de me reconnecter aux traditions familiales et à leurs valeurs, à mes origines.
Peux-tu nous en dire plus sur tes goûts vestimentaires et tes pièces préférées ?
Je m’habille souvent avec les vêtements d’Etudes, un label de mode parisien que mon partenaire a co-crée.
Au-delà de mon affection pour cette marque qui est une aventure fascinante, à la fois artistique et amicale, leurs chemises, bombers et manteaux sont tellement résistants et intemporels que je les porte presque tous les jours.
Ma pièce favorite du moment est la chemise bleu ciel issue d’une collaboration entre Etudes et le J-M Basquiat Estate.
Le t-shirt Bless imprimé d’une photo de vacances est mon uniforme de l’été. En coton ultra fin et presque transparent, il est très chic associé à un pantalon noir large.
Ce t-shirt est aussi parfait pour les voyages où on ne peut prendre que très peu d’affaires comme le camping par exemple : il ne prend pas de place et sèche vite.
Je m’habille souvent avec les vêtements d’Etudes, un label de mode parisien que mon partenaire a co-crée.
Au-delà de mon affection pour cette marque qui est une aventure fascinante, à la fois artistique et amicale, leurs chemises, bombers et manteaux sont tellement résistants et intemporels que je les porte presque tous les jours.
Ma pièce favorite du moment est la chemise bleu ciel issue d’une collaboration entre Etudes et le J-M Basquiat Estate.
Le t-shirt Bless imprimé d’une photo de vacances est mon uniforme de l’été. En coton ultra fin et presque transparent, il est très chic associé à un pantalon noir large.
Ce t-shirt est aussi parfait pour les voyages où on ne peut prendre que très peu d’affaires comme le camping par exemple : il ne prend pas de place et sèche vite.
Quels sont tes essentiels de voyage ?
Je voyage très léger, souvent avec un grand tote bag ou un sac à dos.
J’emporte toujours avec moi mes vêtements Bless et Lemaire car ils sont extrêmement versatiles et beaux même froissés.
Les petits luxes que je m’autorise à emporter lors de mes voyages sont les drip bag coffee coréens pour le matin (mini cafés filtres conditionnés sous forme de sachets), les infusions pour la nuit et un morceau de palo santo pour purifier l’air.
Je voyage très léger, souvent avec un grand tote bag ou un sac à dos.
J’emporte toujours avec moi mes vêtements Bless et Lemaire car ils sont extrêmement versatiles et beaux même froissés.
Les petits luxes que je m’autorise à emporter lors de mes voyages sont les drip bag coffee coréens pour le matin (mini cafés filtres conditionnés sous forme de sachets), les infusions pour la nuit et un morceau de palo santo pour purifier l’air.
Comment sélectionnes-tu tes projets professionnels ?
J’ai tendance à aller vers les projets que je peux suivre de A à Z et dans lesquels je peux toucher à tout.
Quand je travaille avec des marques, j’ai souvent un rôle double : proposer un concept créatif, des contenus, des actions de communication et assurer le suivi du projet tout en supervisant la phase de production.
Cela demande beaucoup d’engagement personnel mais c’est ce qui me plaît, car je considère que le processus et la manière de travailler sont aussi importants que le résultat.
Il est crucial pour moi que chaque personne avec laquelle je collabore se sente respectée pour ce qu’elle apporte au projet.
J’ai la chance de travailler avec des clients pour qui ces valeurs sont également importantes et qui ont confiance en leurs collaborateurs.
Tous mes projets s’appuient sur un processus collaboratif dans le sens propre du terme.
J’ai tendance à aller vers les projets que je peux suivre de A à Z et dans lesquels je peux toucher à tout.
Quand je travaille avec des marques, j’ai souvent un rôle double : proposer un concept créatif, des contenus, des actions de communication et assurer le suivi du projet tout en supervisant la phase de production.
Cela demande beaucoup d’engagement personnel mais c’est ce qui me plaît, car je considère que le processus et la manière de travailler sont aussi importants que le résultat.
Il est crucial pour moi que chaque personne avec laquelle je collabore se sente respectée pour ce qu’elle apporte au projet.
J’ai la chance de travailler avec des clients pour qui ces valeurs sont également importantes et qui ont confiance en leurs collaborateurs.
Tous mes projets s’appuient sur un processus collaboratif dans le sens propre du terme.
Tu as un mode de vie assez minimaliste, que ce soit en termes d’aménagement intérieur ou de décoration. D’où cela te vient-il ?
Je pense que je suis un peu une minimaliste-née, comme mes parents.
En termes de dépenses, j’ai tendance à investir dans les moments plutôt que dans le matériel : je privilégie les voyages et nouvelles expériences, aller au cinéma, au musée, acheter des livres, passer du temps avec les personnes que j’apprécie.
J’ai un amour pour les choses belles et fonctionnelles mais je ne ressens pas le besoin de changer de lampe tous les 3 ans pour rafraîchir la décoration.
Les céramiques sont les seuls objets que j’achète assez régulièrement.
Je fais faire certaines pièces sur mesure car ce sont des objets beaux et uniques que je peux « partager » avec mes invités lorsqu’ils viennent à la maison.
Je pense que je suis un peu une minimaliste-née, comme mes parents.
En termes de dépenses, j’ai tendance à investir dans les moments plutôt que dans le matériel : je privilégie les voyages et nouvelles expériences, aller au cinéma, au musée, acheter des livres, passer du temps avec les personnes que j’apprécie.
J’ai un amour pour les choses belles et fonctionnelles mais je ne ressens pas le besoin de changer de lampe tous les 3 ans pour rafraîchir la décoration.
Les céramiques sont les seuls objets que j’achète assez régulièrement.
Je fais faire certaines pièces sur mesure car ce sont des objets beaux et uniques que je peux « partager » avec mes invités lorsqu’ils viennent à la maison.
Hyeseon Jeong
Photographiée par Marie Deteneuille
Photographiée par Marie Deteneuille
PORTRAIT - HYESEON JEONG
Hyeseon Jeong a grandi en Corée du Sud et s’est installée à Paris il y a 11 ans pour étudier le cinéma.
En parallèle de ses études en théorie esthétique du cinéma et histoire de l’art, elle a entamé sa collaboration avec les magazines Vogue Korea, Magazine B (Brand documentary) et Magazine F (Food culture) en tant qu’Editrice correspondante.
Aujourd’hui, ses activités oscillent entre le monde de la presse, la mode et la culture culinaire, mais elle conseille principalement des marques – le plus souvent coréennes – qui souhaitent se développer en Europe.
Elle accompagne également des enseignes françaises qui cherchent à s’implanter sur le marché coréen.
Hyeseon nous a reçues dans son appartement du 20ème arrondissement pour nous parler de son goût pour la cuisine, ses travel tips et son mode de vie minimaliste.
En parallèle de ses études en théorie esthétique du cinéma et histoire de l’art, elle a entamé sa collaboration avec les magazines Vogue Korea, Magazine B (Brand documentary) et Magazine F (Food culture) en tant qu’Editrice correspondante.
Aujourd’hui, ses activités oscillent entre le monde de la presse, la mode et la culture culinaire, mais elle conseille principalement des marques – le plus souvent coréennes – qui souhaitent se développer en Europe.
Elle accompagne également des enseignes françaises qui cherchent à s’implanter sur le marché coréen.
Hyeseon nous a reçues dans son appartement du 20ème arrondissement pour nous parler de son goût pour la cuisine, ses travel tips et son mode de vie minimaliste.
Depuis quand habites-tu dans cet appartement ? Quelles étaient tes envies en termes d’aménagement de l’espace ?
J’habite un petit appartement au dernier étage, bien entendu sans ascenseur ! J’y ai emménagé il y a 3 ans avec mon partenaire après l’avoir entièrement rénové.
La première question que les gens me posent en y entrant est : « où sont vos affaires ? ». Comme on aime tous les deux les espaces « vides », il était important pour nous d’optimiser la surface au maximum.
Nous avons donc fait construire des rangements qui font office de cloisons pour pouvoir y cacher toutes nos affaires.
Ma partie préférée de l’appartement est la cuisine. J’ai toujours rêvé d’avoir un plan de travail en inox pour pouvoir y étaler autant d’ingrédients et d’ustensiles que je veux.
Cuisiner sur ce plan de travail de 3 mètres de long muni d’une étagère à vaisselle suspendue est un pur bonheur.
J’habite un petit appartement au dernier étage, bien entendu sans ascenseur ! J’y ai emménagé il y a 3 ans avec mon partenaire après l’avoir entièrement rénové.
La première question que les gens me posent en y entrant est : « où sont vos affaires ? ». Comme on aime tous les deux les espaces « vides », il était important pour nous d’optimiser la surface au maximum.
Nous avons donc fait construire des rangements qui font office de cloisons pour pouvoir y cacher toutes nos affaires.
Ma partie préférée de l’appartement est la cuisine. J’ai toujours rêvé d’avoir un plan de travail en inox pour pouvoir y étaler autant d’ingrédients et d’ustensiles que je veux.
Cuisiner sur ce plan de travail de 3 mètres de long muni d’une étagère à vaisselle suspendue est un pur bonheur.
La cuisine semble tenir une place importante dans ta vie, est-ce que ça a toujours été le cas ?
Pendant longtemps j’ignorais que le bien-manger était quelque chose de très important, voire vital dans ma vie.
J’ai grandi dans un environnement très privilégié : ma mère et ma grande mère préparaient elles-mêmes toutes les sauces essentielles à la cuisine coréenne comme les sauces soja, le doenjang (miso coréen), le gochujang (pâte de piment), et l’huile de sésame.
La plupart des ingrédients qu’elles utilisaient venaient directement du potager de ma famille.
Une fois éloignée de tout cela en arrivant à Paris, j’ai réalisé combien un mauvais repas pouvait m’affecter.
La cuisine faite maison avec des ingrédients de saison m’apaise et me fait beaucoup de bien.
Cela me permet de me reconnecter aux traditions familiales et à leurs valeurs, à mes origines.
Pendant longtemps j’ignorais que le bien-manger était quelque chose de très important, voire vital dans ma vie.
J’ai grandi dans un environnement très privilégié : ma mère et ma grande mère préparaient elles-mêmes toutes les sauces essentielles à la cuisine coréenne comme les sauces soja, le doenjang (miso coréen), le gochujang (pâte de piment), et l’huile de sésame.
La plupart des ingrédients qu’elles utilisaient venaient directement du potager de ma famille.
Une fois éloignée de tout cela en arrivant à Paris, j’ai réalisé combien un mauvais repas pouvait m’affecter.
La cuisine faite maison avec des ingrédients de saison m’apaise et me fait beaucoup de bien.
Cela me permet de me reconnecter aux traditions familiales et à leurs valeurs, à mes origines.
Peux-tu nous en dire plus sur tes goûts vestimentaires et tes pièces préférées ?
Je m’habille souvent avec les vêtements d’Etudes, un label de mode parisien que mon partenaire a co-crée.
Au-delà de mon affection pour cette marque qui est une aventure fascinante, à la fois artistique et amicale, leurs chemises, bombers et manteaux sont tellement résistants et intemporels que je les porte presque tous les jours.
Ma pièce favorite du moment est la chemise bleu ciel issue d’une collaboration entre Etudes et le J-M Basquiat Estate.
Le t-shirt Bless imprimé d’une photo de vacances est mon uniforme de l’été. En coton ultra fin et presque transparent, il est très chic associé à un pantalon noir large.
Ce t-shirt est aussi parfait pour les voyages où on ne peut prendre que très peu d’affaires comme le camping par exemple : il ne prend pas de place et sèche vite.
Je m’habille souvent avec les vêtements d’Etudes, un label de mode parisien que mon partenaire a co-crée.
Au-delà de mon affection pour cette marque qui est une aventure fascinante, à la fois artistique et amicale, leurs chemises, bombers et manteaux sont tellement résistants et intemporels que je les porte presque tous les jours.
Ma pièce favorite du moment est la chemise bleu ciel issue d’une collaboration entre Etudes et le J-M Basquiat Estate.
Le t-shirt Bless imprimé d’une photo de vacances est mon uniforme de l’été. En coton ultra fin et presque transparent, il est très chic associé à un pantalon noir large.
Ce t-shirt est aussi parfait pour les voyages où on ne peut prendre que très peu d’affaires comme le camping par exemple : il ne prend pas de place et sèche vite.
Quels sont tes essentiels de voyage ?
Je voyage très léger, souvent avec un grand tote bag ou un sac à dos.
J’emporte toujours avec moi mes vêtements Bless et Lemaire car ils sont extrêmement versatiles et beaux même froissés.
Les petits luxes que je m’autorise à emporter lors de mes voyages sont les drip bag coffee coréens pour le matin (mini cafés filtres conditionnés sous forme de sachets), les infusions pour la nuit et un morceau de palo santo pour purifier l’air.
Je voyage très léger, souvent avec un grand tote bag ou un sac à dos.
J’emporte toujours avec moi mes vêtements Bless et Lemaire car ils sont extrêmement versatiles et beaux même froissés.
Les petits luxes que je m’autorise à emporter lors de mes voyages sont les drip bag coffee coréens pour le matin (mini cafés filtres conditionnés sous forme de sachets), les infusions pour la nuit et un morceau de palo santo pour purifier l’air.
Comment sélectionnes-tu tes projets professionnels ?
J’ai tendance à aller vers les projets que je peux suivre de A à Z et dans lesquels je peux toucher à tout.
Quand je travaille avec des marques, j’ai souvent un rôle double : proposer un concept créatif, des contenus, des actions de communication et assurer le suivi du projet tout en supervisant la phase de production.
Cela demande beaucoup d’engagement personnel mais c’est ce qui me plaît, car je considère que le processus et la manière de travailler sont aussi importants que le résultat.
Il est crucial pour moi que chaque personne avec laquelle je collabore se sente respectée pour ce qu’elle apporte au projet.
J’ai la chance de travailler avec des clients pour qui ces valeurs sont également importantes et qui ont confiance en leurs collaborateurs.
Tous mes projets s’appuient sur un processus collaboratif dans le sens propre du terme.
J’ai tendance à aller vers les projets que je peux suivre de A à Z et dans lesquels je peux toucher à tout.
Quand je travaille avec des marques, j’ai souvent un rôle double : proposer un concept créatif, des contenus, des actions de communication et assurer le suivi du projet tout en supervisant la phase de production.
Cela demande beaucoup d’engagement personnel mais c’est ce qui me plaît, car je considère que le processus et la manière de travailler sont aussi importants que le résultat.
Il est crucial pour moi que chaque personne avec laquelle je collabore se sente respectée pour ce qu’elle apporte au projet.
J’ai la chance de travailler avec des clients pour qui ces valeurs sont également importantes et qui ont confiance en leurs collaborateurs.
Tous mes projets s’appuient sur un processus collaboratif dans le sens propre du terme.
Tu as un mode de vie assez minimaliste, que ce soit en termes d’aménagement intérieur ou de décoration. D’où cela te vient-il ?
Je pense que je suis un peu une minimaliste-née, comme mes parents.
En termes de dépenses, j’ai tendance à investir dans les moments plutôt que dans le matériel : je privilégie les voyages et nouvelles expériences, aller au cinéma, au musée, acheter des livres, passer du temps avec les personnes que j’apprécie.
J’ai un amour pour les choses belles et fonctionnelles mais je ne ressens pas le besoin de changer de lampe tous les 3 ans pour rafraîchir la décoration.
Les céramiques sont les seuls objets que j’achète assez régulièrement.
Je fais faire certaines pièces sur mesure car ce sont des objets beaux et uniques que je peux « partager » avec mes invités lorsqu’ils viennent à la maison.
Je pense que je suis un peu une minimaliste-née, comme mes parents.
En termes de dépenses, j’ai tendance à investir dans les moments plutôt que dans le matériel : je privilégie les voyages et nouvelles expériences, aller au cinéma, au musée, acheter des livres, passer du temps avec les personnes que j’apprécie.
J’ai un amour pour les choses belles et fonctionnelles mais je ne ressens pas le besoin de changer de lampe tous les 3 ans pour rafraîchir la décoration.
Les céramiques sont les seuls objets que j’achète assez régulièrement.
Je fais faire certaines pièces sur mesure car ce sont des objets beaux et uniques que je peux « partager » avec mes invités lorsqu’ils viennent à la maison.
Hyeseon Jeong
Photographiée par Marie Deteneuille
Photographiée par Marie Deteneuille
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PORTRAIT - HYESEON JEONG
